revue de presse internet
Europe : religion & Éthique
REVUE DE PRESSE INTERNET du (27 & 28 AOUT 2017)
LISTE DES THÈMES
1-0 EN DIRECT DU VATICAN
2-0 PAPE FRANÇOIS ET L’ÉGLISE (OU LES EGLISES)
3-0 ŒCUMÉNISME
4-0 LITURGIE
5-0 SPIRITUALITÉ
6-0 ÉTHIQUE
7-0 LAICITÉ
8-0 SOCIÉTÉ (Politique, etc)
8-1 BREXIT
8-2 CETA
8-3 CD01 Accord sur le contrôle du climat
8-4 UNION EUROPÉENNE
8-5 EUROPE (autres que de l’UE)
9-1 PROCHE ORIENT – SYRIE, ÉGYPTE, IRAK, IRAN, ISRAEL, TURQUIE, RUSSIE, SYRI, ARABIE, QATAR
9-2 ORIENT - INDE, CHINE, JAPON, CORÉE, INDONÉSIE, PHILIPINES, AUSTRALIE
9-3 ISLAM, ISLAMISME, IMMIGRATION, TERRORISME
9-4 AMÉRIQUE DU NORD (USA, CANADA)
9-5 AMÉRIQUE CENTRALE
9-6 AMÉRIQUE DU SUD
9-7 AFRIQUE
15- DIVERS
16- MÉDIA-PRESSE-INFO
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NOTE :
L’INDICATION « EN SAVOIR PLUS » PLACÉE AVANT LE « LIEN » http://www.etc... INDIQUE
QUE LE « TEXTE » AFFICHÉ N’EST PAS COMPLET. UN « CLIC » SUR CE LIEN CONDUIT
DONC AU SITE INTERNET, ET À LA PAGE OÙ EST AFFICHÉ LE « TEXTE COMPLET DE
L’ARTICLE ». L’ABSENCE DU « EN SAVOIR PLUS » INDIQUE QUE L’ARTICLE A ÉTÉ COPIÉ
AU COMPLET.
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1-0 EN DIRECT DU VATICAN + Aleteia + Zenit
ALETEIA TODAY 28 AOÛT 2017
ACCÈS À TOUS LES TITRES DU JOUR : http://us7.campaign-archive1.com/?e=72f681e023&u=e747b6da5b523d93de77f3f8b&id=bf264943a4
SÉLECTION DE TITRES :
Un voyage du pape François en Russie est-il possible ?
Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège a achevé, le 24 août 2017, une visite officielle de quatre jours en Russie.
Un spécialiste du divorce partage ses 4 questions pour éviter une séparation
Un avocat, spécialisé dans le divorce, invite ses clients à se poser quelques questions riches de sens, avant de …
Un prêtre raconte comment il est passé du Ku Klux Klan au sacerdoce
Un prêtre catholique d’Arlington, dans l’État de Virginie, s’est mis provisoirement en retrait de ses fonctions après …
À LA UNE DE RADIO VATICAN LUNDI 28 AOÛT 2017
Le Pape François se rendra en Birmanie et au Bangladesh à l'automne
Vatican
Le vibrant appel du Pape François pour les Rohingyas de Birmanie
Angélus : "L'Eglise a constamment besoin d'être réparée"
Le Pape François rencontre des parlementaires catholiques
Des parlementaires catholiques réunis autour du cardinal Schönborn
Le cardinal Parolin réagit aux expulsions de migrants à Rome
Message du Pape aux Polonais pour la fête de Notre Dame de Czestochowa
Eglise
Le Pape François invitera la Birmanie à une réconciliation
Le Pape ira au Bangladesh pour encourager l'harmonie et la paix
Inondations au Texas: l'Église américaine se mobilise
Monde
Le conflit avec les Rohingyas s'aggrave en Birmanie
Les eurobonds, facteur d'intégration pour les pays de la zone euro
Philippines: mobilisation contre l'autoritarisme du président Duterte
ZENIT LE MONDE VU DE ROME
Les titres du lundi 28 août 2017 – Voyages en Birmanie et au Bangladesh
Paix, amour et harmonie
Myanmar et Bangladesh: annonce du voyage du pape (27 novembre -2 décembre 2017)
Premier voyage d’un pape au Myanmar, second au Bangladesh
Myanmar 2017 : voyage papal sous le signe de l’amour et de la paix
Pourquoi la méditation nous fait tant de bien, par Christophe André
L’amour, valeur des chrétiens et des bouddhistes
Bangladesh 2017: voyage papal sous le signe de l’harmonie et de la paix
Sur les pas de Jean-Paul II
Myanmar : la joie produite par la nouvelle de la visite du pape
Un message universel de réconciliation
Catholiques engagés en politique, construisez des ponts de dialogue!
Pour une « écologie humaine et naturelle correcte »
Mamans qui pleurez, «ne perdez pas l’espoir!», tweet du pape François
Fêtes de sainte Monique et de son fils Augustin
« Le baptême de votre enfant », par le card. Lustiger
« Bien davantage qu’une formalité d’identification chrétienne »
2-0 PAPE FRANÇOIS ET ÉGLISE CATH. (OU AUTRES ÉGLISES)
LE DÉSARMANT IRRÉALISME DU PAPE FRANÇOIS
CHRONIQUE - En prônant l'accueil pour tous, le Pape se désintéresse du désarroi des peuples européens confrontés à la montée en puissance d'une immigration du tiers-monde et d'une culture islamique offensive.
À faire l'ange, le Pape met l'Europe en danger. En dépit de la pression démographique de l'Afrique et des tensions identitaires que connaissent les pays ouverts aux arrivées de populations musulmanes, François prêche l'accueil pour tous, clandestins compris. Lundi, il a rappelé que la "sécurité nationale" devait passer après la "sécurité personnelle". Il demande des "visas temporaires spéciaux" pour les personnes qui fuient les conflits. Il s'oppose aux "expulsions collectives et arbitraires de migrants et de réfugiés". Il réclame le "regroupement familial, y compris des grands-parents, des frères et sœurs et des petits enfants, sans jamais le soumettre à des capacités économiques". Il dénonce la détention de "ceux qui entrent sur le territoire national sans autorisation". Le Pape estime en outre que les étrangers doivent avoir accès aux soins et "aux systèmes de pension". Il s'oppose à l'assimilation, qui "conduit à supprimer ou oublier sa propre identité culturelle".
Cette irréaliste générosité dévoile un égoïsme. Le Pape se désintéresse, en effet, du désarroi des peuples européens confrontés à la montée en puissance d'une immigration du tiers-monde et d'une culture islamique offensive. Jean-Paul II était plus lucide quand, en juin 2003, il invitait à avoir "un juste rapport avec l'islam" et à "être conscient, entre autres, de la divergence notable entre la culture européenne, qui a de profondes racines chrétiennes, et la pensée musulmane". Cette prudence n'est pas celle de François. Sa défense d'une Europe multiculturelle est même suicidaire : elle permet à une civilisation historiquement opposée à l'Occident de s'y enraciner, y compris par l'intimidation ou la force (1). Abdelwahab Meddeb, intellectuel français, avait pourtant prévenu :
"Le Coran porte dans sa lettre la violence, l'appel à la guerre. La recommandation de tuer les ennemis et les récalcitrants n'est pas une invention malveillante, elle est dans le texte même du Coran."
François ne peut ignorer ces alertes des musulmans éclairés.
http://www.magistro.fr/index.php/template/lorem-ipsum/avec-l-europe/item/3239-l-irrealisme-du-pape-francois
L’EXHORTATION APOSTOLIQUE AMORIS LÆTITIA
« LA JOIE DE L’AMOUR »
« Afin d’éviter toute interprétation déviante, je rappelle que d’aucune manière l’Église ne doit renoncer à proposer l’idéal complet du mariage, le projet de Dieu dans toute sa grandeur. » (Pape François, Amoris Laetitia, n° 307) Telle est bien l’intention de cette magnifique Exhortation apostolique, réduite par les médias à n’être qu’une « pastorale des échecs », alors que tout l’effort qui la sous-tend est de « consolider les mariages et prévenir ainsi les ruptures »
SOUS ce titre, l’exhortation apostolique Amoris lætitia signée le 19 mars 2016, en la fête de saint Joseph, par notre Saint-Père le pape François, est le fruit des deux synodes sur la famille tenus par le Saint-Père en 2014 et 2015, mais aussi de ses catéchèses prononcées en audiences générales sur la famille entre le 10 décembre 2014 et le 15 septembre 2015.
D’emblée, le Pape pose en principe que, sur ce thème, « tous les débats doctrinaux, moraux ou pastoraux ne doivent pas être tranchés par des interventions magistérielles » (n° 3). Telle était précisément la pensée de l’abbé de Nantes, notre Père, exprimée en particulier au moment de la publication par Paul VI de l’encyclique Humanæ vitæ.
« Au confessionnal ou dans mon bureau », disait-il. Et le pape François de même, regrettant l’abondance désordonnée des débats publics qui entourent ces questions difficiles. (n° 2)
CHAPITRE PREMIER : À LA LUMIÈRE DE LA PAROLE
Le pape François commence par poser ce que Dieu, par son acte créateur, a inscrit dans la personne de l’homme et de la femme : « l’image de Dieu », selon les « deux grandioses premiers chapitres de la Genèse » où, « de manière surprenante, l’image de Dieu tient lieu de parallèle explicatif précisément au couple homme et femme » (n° 10)
Ici, il croit devoir payer tribut au “ saint ” pontife et docteur de l’Église conciliaire, son prédecesseur : « Les paroles de saint Jean-Paul II nous éclairent : “ Notre Dieu, dans son mystère le plus intime, n’est pas une solitude, mais une famille, puisqu’il porte en lui-même la paternité, la filiation et l’essence de la famille qu’est l’amour. ” »
Définir l’amour comme une “ essence ” ? Aussitôt Jean-Paul II ajoute : « “ Cet amour, dans la famille divine, est l’Esprit-Saint ” », troisième Personne de la Sainte Trinité. Mais l’Esprit-Saint est une Personne, non ? Alors « l’essence de la famille » est une Personne ? Papa, maman, mes frères et sœurs sont une seule personne ? Je ne sais pas si Jean-Paul II était un saint, ou plutôt je sais que non ! Mais il n’est point philosophe, encore moins théologien !
Et la question de l’ « aspect trinitaire du couple » (n° 11) reste entière.
Heureusement, pour l’éclairer, François revient vite à la « lumière de la Parole ». Il remarque que l’homme inquiet « cherche “ une aide qui lui soit assortie ” (Gn 2, 18 et 20), capable de combler cette solitude qui le perturbe et qui n’est pas comblée par la proximité des animaux et de toute la création. L’expression originelle en hébreu nous renvoie à une relation directe. » À la bonne heure ! Ce Pape qui passe pour n’être point philosophe, nous délivre du galimatias “ essentialiste ” de son prédécesseur pour rejoindre Georges de Nantes dans la considération de la « relation » comme « rencontre avec un visage, un “ tu ” qui reflète l’amour divin ».
De manière générale, les références à “ saint Jean-Paul ” qui parsèment cette longue encyclique n’ont que peu ou pas d’incidence sur la pensée personnelle du Pape François. Ainsi lorsqu’il énumère assez froidement les textes du magistère sur le mariage et la famille (n° 67 à 69), lorsqu’il traite de « la dimension érotique de l’amour » (nos 151-152), de la virginité consacrée, citant Redemptor Hominis (n° 161), ou bien de la fécondité du mariage (n° 165 et 167). Dans ce dernier cas, la longue citation employée n’évoque même pas l’intervention de Dieu dans la procréation, il faut qu’il la rajoute lui-même, ce qu’il fait tout naturellement, sans remarquer la lacune…
C’est que le Pape François est “ franciscain ” : aux définitions et arguties philosophiques, il préfère l’Histoire sainte.
Et il est relationnel : ce qu’il pose au chapitre premier, c’est l’indissolubilité du mariage comme résultant de la relation de création, relation première à la Sainte Trinité, constitutive de la créature….
EN SAVOIR PLUS : http://crc-resurrection.org/toute-notre-doctrine/contre-reforme-catholique/pape-francois/exhortation-apostolique-amoris-laetitia/
LA CONFESSION DE FOI DE SAINT PIERRE, HOMÉLIE
Homélie prononcée à la paroisse de Conneux (Ciney), à la messe anticipée du samedi soir, le 26 août 2017.
Depuis plusieurs mois déjà, Jésus parcourait la Galilée. Il annonçait l’Évangile, guérissait les malades, chassait les démons, pardonnait les péchés. Il donnait ainsi des signes de sa mystérieuse origine et de la venue du Royaume. Il avait appelé ses apôtres, les avait instruits, formés et envoyés en mission dans les villages. Ceux-ci apprenaient ainsi à connaître de mieux en mieux qui était vraiment Jésus. Et nous en arrivons à un tournant capital de la vie de Notre Seigneur, le moment où il va interroger ses compagnons sur leur foi personnelle : Pour vous qui suis-je ?
Saint Pierre va répondre au nom de tous : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Pierre adhère ainsi au Christ, reconnaît qu'il est le Messie attendu par Israël. C'est la foi de l’Église que Pierre proclame, la foi qui est encore la nôtre aujourd'hui. Car si nous sommes ici, c'est bien parce que nous croyons, que cet homme qui est passé parmi nous, Jésus de Nazareth, est le Fils éternel de Dieu, qu'il est Dieu, créateur du ciel et de la terre, avec son Père et le Saint-Esprit, qu'il s'est fait homme pour venir nous faire connaître le mystère de Dieu et son dessein sur les hommes et pour donner sa vie, afin que nos péchés soient pardonnés et que nous recevions ainsi la vie éternelle.
Jésus répond alors à saint Pierre : Heureux es-tu, parce que ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux. La foi est une grâce reçue de Dieu. La foi est de croire fermement, avec une entière certitude, tout ce que Dieu nous a révélé et que l’Église nous propose à croire. C'est au-dessus des capacités naturelles de l'homme. Il faut la grâce de Dieu, que Dieu nous éclaire intérieurement et nous conduise à adhérer à la vérité. Pensons-nous assez à remercier souvent le Bon Dieu pour la foi qu'il nous a donnée ? Peut-être depuis notre enfance, ou pour certains, plus tard dans la vie. La foi est une grâce, un don, un cadeau précieux que Dieu nous a donné. Et ceux qui n'ont pas la foi ? Nous ne les jugeons pas, nous ne les méprisons pas, mais nous prions pour que Dieu les éclaire et leur donne la foi.
EN SAVOIR PLUS : http://simonnoel.blogspot.fr/2017/08/la-confession-de-foi-de-saint-pierre.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+SimonNolOsb+(Simon+Noël+OSB)
LE PLAFOND S’ÉCROULE ET…
tombe pile-poil sur l'autel édifié pour la messe à l'envers.
Aucun blessé, aucun autre dégât... (sinon dans l'amour propre de l'artiste qui avait conçu la chose...)
Il s'agit de l'église "ta' Giezu" de Rabat à Malte. Là où les évêques ordonnent aux prêtres de donner la communion aux adultères, et ont condamné fermement les catholiques qui faisaient campagne contre la légalisation du "mariage" des invertis.
On remarque que c’est la grosse poutre qui est tombée, et qui est restée bien visible au-dessus des gravats. Est-ce que saint Joseph serait passé par là ?
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2017/08/26/le-plafond-s-ecroule-et-5974024.html
UN LOBBY LGBT DANS L’ÉGLISE?
Un lobby LGBT dans l’Eglise ?
Gaspar Folk
Auteur d’un décret très clair sur l’impossibilité pour l’Eglise de permettre aux homosexuels non repentis d’accéder à la communion ou de recevoir des funérailles catholiques, Mgr Paprocki est depuis lors en proie à de violentes critiques. L’évêque de Springfield, Illinois, est revenu publiquement à la charge en soulignant que les protestations qui lui sont adressées depuis l’intérieur de l’Eglise prouvent qu’un « puissant lobby LGBT » s’y est infiltré
Et quitte à dire ce qu’il a sur le cœur, Mgr Paprocki a désigné nommément le père jésuite James Martin, récemment nommé consulteur de la Salle de presse du Vatican, qui fait partie de ceux qui ont dénoncé la mise au point doctrinale et pastorale de l’évêque américain. Le P. James Martin, S.J. est notamment l’auteur du livre au titre équivoque, Building a Bridge (« Construire un pont ») où il invite les catholiques « gays » à entamer des « conversations » avec leurs évêques afin que l’Eglise s’oriente doucement vers l’acceptation de l’homosexualité comme faisant parti de la Création, rappelle Pete Baklinski de LifeSiteNews.
http://reinformation.tv/mgr-paprocki-illinois-denonce-lobby-lgbt-eglise-smits-73065-2/
3-0 ŒCUMÉNISME
4-0 LITURGIE
5-0 SPIRITUALITÉ
LA PRIÈE DES ÉPOUX – UNE CONSÉCRATION THÉOLOGALE
La prière des époux – Une consécration théologale
La prière des époux, le jour de leur mariage, est un acte de foi et d’espérance fondé dans la charité pour construire du cœur même de Dieu une vie et une famille théologale.
Souvent les époux cherchent une prière pour le jour J ou pour les jours J+++
En voici une, entre prière et programme de vie théologale.
Ô divine Trinité, source et foyer de l’amour, vous avez voulu créer l’Homme à votre image. Le façonnant de concert, vous lui avez donné l’image et la ressemblance, faisant de ce vase d’argile modelé de vos mains trinitaires le réceptacle de votre Esprit insufflé, amour permanent du Père et du Fils.
Ô Amour pur sans cesse donné et reçu, vous avez placé au cœur de cet échange incandescent, l’Homme gardien du don suréminent de vous-même à son intime.
Cœur à cœur divin, vous nourrissez d’un même jaillissement l’Homme qui s’ouvre à la vie divine pour le combler de votre propre plénitude.
Ainsi façonné et comblé vous en faites un merveilleux canal de la Grâce pour illuminer et nourrir à son tour les prochains que vous mettez sur sa route.
Homme et femme Vous les créâtes. Tous deux Votre divine image nourris à la source de l’Amour Trinitaire, vous leur faites à votre ressemblance le don de participer à votre échange amoureux trinitaire et, par là, vous leur donnez la grâce en même temps que la mission d’inonder le monde de l’amour même qui vient de votre cœur débordant.
Participants de l’œuvre divine par le rayonnement de l’amour qu’ils puisent au cœur de votre Trinité, vous avez librement décidé de faire d’eux les collaborateurs de votre dessein d’amour salvateur. Image des fruits que l’amour est capable de porter, vous les avez rendus procréateurs de la vie et coopérateurs de l’œuvre de Rédemption, achevant dans leur chair ce qu’il manque à la Croix du Christ.
Jaillissement sur la Croix de l’eau purificatrice mêlée du sang rédempteur s’écoulant du Sacré Cœur transpercé par amour de l’Humanité déchue, l’amour a pris la forme la plus absolue du don, celui qui purifie, restaure et redonne la vie divine.
Nouvelle Alliance, éternelle profusion dont les époux chrétiens sont désormais le signe en même temps que canal, par la vie qu’ils sont appelés à donner. Vie divine en étant canal de la grâce, vie biologique et spirituelle en étant procréateurs et participants de la mission rédemptrice comme signe efficace, visible et efficient de l’Amour incessant du Père pour son fils et du Fils pour son Père. Amour jaillissant de toute éternité en la Personne du Saint Esprit recouvrant les eaux, façonnant Adam, endormant le premier Homme pendant que de son côté sortait la Mère des Vivants, recouvrant Marie pour enfanter le Sauveur, habitant enfin en tout Homme qui le désire avec l’ardeur passionnée de l’amant du Cantique des Cantiques.
Ô Divine Trinité, vous qui avez voulu l’Homme, homme et femme, participant de votre amour, donnez à notre amour de toujours plus se nourrir du vôtre, don pur, gratuit et généreux.
Ô Sacré Cœur Rédempteur, vous qui avez tant aimé le monde, faites de notre famille une image permanente de votre Cœur Brûlant, un écrin de votre miséricorde et un refuge pour les affligés.
Ô Esprit Saint, source de vie, donnez à notre union la grâce d’une abondante fécondité par les enfants que vous voudrez bien nous accorder, et par l’amour que nous pourrons répandre autour de nous.
Ô Père éternel, vous vers qui toute la quête de l’Homme se tourne, vous en qui s’achève, s’accomplit et se repose l’âme des vos enfants, faites-nous la grâce de toujours vous chercher, vous aimer et vous plaire, ici, maintenant et à jamais afin que nous demeurions en vous, et vous en nous, et que nous prenions notre repas à cette même table celle des noces de l’Agneau, sur votre sainte Montagne Altière et belle.
Amen
https://www.infocatho.fr/la-priere-des-epoux-une-consecration-theologale/
POURQUOI LA MÉDITATION NOUS FAIT TANT DE BIEN
Méditer, c'est bon pour la santé. L'hôpital l'a compris depuis plusieurs années. Mais les vertus de cette pratique de sont pas seulement thérapeutiques. Elle nous permet d'atteindre d'autres buts, dont la sagesse… une forme de recherche du bonheur qui tente de ne pas nier le réel.
Christophe André
Christophe André est médecin psychiatre à l'hôpital Saint-Anne à Paris. Il a été, en 2004, l'un des premiers médecins français à utiliser officiellement la méditation dans la prise en charge de ses patients. Il a écrit sur ce thème un manuel de référence, best-seller dans de nombreux pays : "Méditer jour après jour" (L'Iconoclaste). Dernier ouvrage paru : "Trois minutes à méditer" (L'Iconoclaste 2017). Vous pouvez le retrouver sur internet (www.christopheandre.com).
L’imaginaire populaire associe volontiers sagesse et méditation. Pour l’Occident, il existe ainsi dans un recoin du Louvre un délicieux petit tableau de Rembrandt, "le Philosophe en Méditation", montrant un vieux monsieur dans un recoin de pièce : il s’est écarté de son bureau encombré de grimoires, a repoussé sa chaise, et regarde dans le vague, absorbé par une réflexion profonde sur quelque grand thème existentiel. Pour l’Orient, il existe d’innombrables représentations du Bouddha, assis en tailleur, les yeux clos, lui aussi en pleine méditation, celle-ci étant sans doute de nature différente, plus contemplative, mais tout aussi sage.
Au-delà de ces clichés, une vérité : sagesse et méditation ont partie liée
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20170822.OBS3673/pourquoi-la-meditation-nous-fait-tant-de-bien-par-christophe-andre.html#xtor=EPR-3-[ObsDerMin]-20170827
MALADES ET AGONISANTS FURENT TOUS GUÉRIS
Ces 28 et 29 août a lieu le pèlerinage de Notre Dame de Grâce de Maillane, afin de commémorer le 159e anniversaire du miracle de la Vierge dans ce village provençal (Bouches-du-Rhône, France).
Au mois d'août 1854, le choléra fit en France de terribles ravages et, le 13 août, il apparut à Maillane. Devant l'impuissance à contenir le fléau, les Maillanais comprirent que leur seul recours était Notre Dame de Grâce dont la statue avait été reléguée dans une salle de classe de l'école des religieuses.
Le 28 août, habitants et prêtres de la paroisse partirent chercher la statue pour faire une procession de pénitence en s'arrêtant devant chaque maison où se trouvait un malade : sur les cent dix personnes qui n'avaient pas quitté Maillane, trente étaient malades et huit à l'agonie.
Sur la place de l'église, on entonna l’ancienne prière : « Sub tuum praesidium... » (« Sous ta garde, ô Notre Dame, nous cherchons un sûr abri... »). À ce moment-là, malades et agonisants furent tous guéris ! Depuis, Maillane a toujours été préservée du fléau qui réapparut plusieurs fois en Provence, jusqu'à la fin du XIXe siècle.
http://pelerinagesdefrance.fr/Notre-Dame-de-Maillane
ENCYCLIQUE SALVI (BENOÎT XVI - ARTICLE 47, SUR LE PURGATOIRE
47. Certains théologiens récents sont de l'avis que le feu qui brûle et en même temps sauve est le Christ lui-même, le Juge et Sauveur. La rencontre avec Lui est l'acte décisif du Jugement. Devant son regard s'évanouit toute fausseté. C'est la rencontre avec Lui qui, en nous brûlant, nous transforme et nous libère pour nous faire devenir vraiment nous-mêmes. Les choses édifiées durant la vie peuvent alors se révéler paille sèche, vantardise vide et s'écrouler. Mais dans la souffrance de cette rencontre, où l'impur et le malsain de notre être nous apparaissent évidents, se trouve le salut. Le regard du Christ, le battement de son cœur nous guérissent grâce à une transformation assurément douloureuse, comme « par le feu ». Cependant, c'est une heureuse souffrance, dans laquelle le saint pouvoir de son amour nous pénètre comme une flamme, nous permettant à la fin d'être totalement nous-mêmes et par là totalement de Dieu. Ainsi se rend évidente aussi la compénétration de la justice et de la grâce: notre façon de vivre n'est pas insignifiante, mais notre saleté ne nous tache pas éternellement, si du moins nous sommes demeurés tendus vers le Christ, vers la vérité et vers l'amour. En fin de compte, cette saleté a déjà été brûlée dans la Passion du Christ. Au moment du Jugement, nous expérimentons et nous accueillons cette domination de son amour sur tout le mal dans le monde et en nous. La souffrance de l'amour devient notre salut et notre joie. Il est clair que la « durée » de cette brûlure qui transforme, nous ne pouvons la calculer avec les mesures chronométriques de ce monde. Le « moment » transformant de cette rencontre échappe au chronométrage terrestre – c'est le temps du cœur, le temps du « passage » à la communion avec Dieu dans le Corps du Christ.[39] Le Jugement de Dieu est espérance, aussi bien parce qu'il est justice que parce qu'il est grâce. S'il était seulement grâce qui rend insignifiant tout ce qui est terrestre, Dieu resterait pour nous un débiteur de la réponse à la question concernant la justice – question décisive pour nous face à l'histoire et face à Dieu lui-même. S'il était pure justice, il ne pourrait être à la fin pour nous tous qu’un motif de peur. L'incarnation de Dieu dans le Christ a tellement lié l'une à l'autre – justice et grâce – que la justice est établie avec fermeté: nous attendons tous notre salut « dans la crainte de Dieu et en tremblant » (Ph 2, 12). Malgré cela, la grâce nous permet à tous d'espérer et d'aller pleins de confiance à la rencontre du Juge que nous connaissons comme notre « avocat » (parakletos) (cf. 1 Jn 2, 1).
EN SAVOIR PLUS : http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/encyclicals/documents/hf_ben-xvi_enc_20071130_spe-salvi.html
6-0 ÉTHIQUE
UN JOURNALISTE DOIT-IL « PRENDRE DES PRÉCAUTIONS AVEC LA VÉRITÉ »?
Par Ingrid Riocreux
Je voudrais revenir ici sur ce qui s’est passé, l’autre soir, sur le plateau de BFMTV :
On ne l’a pas dit mais « quand même » on l’a dit
Donc la journaliste répond à Alain Marsaud. Mais elle ne dit pas : vous avez tort, nous avons rappelé qu’il s’agissait d’un attentat perpétré au nom de l’islamisme. Elle dit : « on a expliqué quand même que c’était l’organisation Etat Islamique qui avait revendiqué l’attentat ». Elle ne conteste pas le bienfondé de l’accusation portée par Alain Marsaud. Du moins, si elle croit exprimer une objection solide, elle se trompe. Elle ne fait qu’apporter une nuance au propos de son interlocuteur. « Quand même » est un modalisateur d’opposition à valeur concessive : il introduit dans la phrase une reconnaissance, même minimale, de la validité du discours adverse. La journaliste exprime donc quelque chose que l’on pourrait paraphraser ainsi : « certes, nous n’avons pas prononcé le mot islamiste mais nous avons dit que l’Etat Islamique a revendiqué cet attentat ».
… La tirade d’Anthony Bellanger
De fait, c’est de l’autre invité présent sur le plateau que va venir la contre-attaque, avec cette entrée en matière : « vous dites absolument n’importe quoi ». Alors que l’attitude des autres journalistes ne consistait pas en un rejet radical du propos d’Alain Marsaud, voilà qu’Anthony Bellanger, également journaliste de son état, trouve qu’il dit « absolument n’importe quoi ». Il faut écouter la suite : c’est la grande tirade du journaliste courroucé. C’est beau. Et puis, c’est amusant : 1. « tout le monde sait que ce sont des attentats islamistes », 2. « les journalistes ne sont pas là pour dire ce qu’ils pensent ou ce qu’ils veulent mais pour dire les choses telles qu’elles sont ». Donc tout monde sait que c’est un attentat islamiste mais les journalistes, qui disent les choses telles qu’elles sont, ne sont pas là pour dire que c’est un attentat islamiste. Ok.
EN SAVOIR PLUS : https://www.causeur.fr/islamisme-alain-marsaud-anthony-bellanger-146317?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=b442ba852f-Newsletter&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-b442ba852f-57258861
7-0 LAICITÉ
8-0 SOCIÉTÉ (Politique, etc)
LREM : L'OPÉRATION DE REPRISE EN MAIN D'EMMANUEL MACRON
«On ne change pas le cap, mais il va y avoir une inflexion dans l'expression, tout le monde doit être sur le pont pour soutenir le chef ! » souligne un proche du proche du président Macron (Archives).
Fin de la phase d'apprentissage. De Matignon au gouvernement en passant par le parti ou le groupe LREM à l'Assemblée, les hommes et les femmes du président sont priés de défendre sa politique et de faire taire les polémiques.
EN SAVOIR PLUS : http://www.leparisien.fr/politique/lrem-l-operation-de-reprise-en-main-d-emmanuel-macron-27-08-2017-7215972.php#xtor=EREC-109-[NLalaune]---${_id_connect_hash}@1
ECOLES, SALLES DE SPORT... LA TENTATION DE L'ENTRE-FEMMES
Les espaces de vie exclusivement réservés à la gent féminine se multiplient. Signaux marginaux ou réel mouvement de fond ? "L'Obs" est allé voir.
On pensait la bataille de la mixité en passe d’être gagnée. Depuis cinquante ans, les Françaises n’ont cessé d’investir les territoires historiquement réservés aux hommes. Dans les établissements scolaires, la cohabitation filles-garçons s’est généralisée depuis les années 1960. Avec 224 députées sur 577, l’Assemblée nationale présente, depuis les dernières élections, un visage plus féminin. Dans les centres sportifs, on transpire dans les mêmes salles de boxe. Dans les entreprises, les postes de haut niveau s’ouvrent. Bref, l’idée d’une vie commune dans une société à peu près apaisée semblait s’imposer. Au moins dans les têtes.
Sauf que, ici et là, des signes disent autre chose. On ne parle pas de ces lieux "oubliés" de la République où, sous le poids de la tradition et de la religion, la mixité a toujours été mise en cause. Mais de certaines écoles bourgeoises, où la demande pour les classes non mixtes revient en force. De ces clubs de gym et autres cercles professionnels exclusivement féminins qui fleurissent un peu partout. De ces célibataires, hommes et femmes, qui, de plus en plus nombreux, choisissent de vivre seuls. Comme s’il fallait, pour se …
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20170817.OBS3466/ecoles-salles-de-sport-la-tentation-de-l-entre-femmes.html#xtor=EPR-3-[ObsDerMin]-20170827
POURQUOI LE GOUVERNEMENT VEUT METTRE LA PÉDALE DOUCE SUR LES CONTRATS AIDÉS
Par Sébastien Pommier
Ils sont "onéreux" et "peu efficaces", estime le gouvernement, qui accuse l'équipe précédente d'avoir "sous-budgétiser" ces contrats.
Après les remous provoqués par l'annonce des coupes budgétaires pour boucher un déficit plus important que prévu, les arbitrages de Matignon et Bercy pour le budget 2018 n'ont pas fait que des heureux. Notamment dans les services publics, puisque le Premier ministre a laissé entendre cet été que l'enveloppe consacrée aux contrats aidés devrait passer sous les 200 000 postes pour le prochain exercice (contre 320 000 en 2017).
LIRE AUSSI >> Rentrée d'Edouard Philippe: quelques crochets et pas mal d'esquives
Principale raison de ce tour de vis: "Ils ne produisent pas de bons résultats", a encore justifié Edouard Philippe sur le plateau de BFMTV pour sa rentrée médiatique. Il n'en fallait pas moins pour susciter l'ire des mairies, des écoles ou des services hospitaliers, tous friands de ces contrats supplémentaires à moindre coût.
En 2018, deux fois moins de contrats qu'en 2016
La tempête politique de l'été est partie d'outre-Mer où deux députés, Serge Letchimy (PS) et Jean-Hugues Ratenon (FI), interpellent début août la ministre du Travail sur la baisse qui toucherait notamment leur terre d'élection, respectivement "2000 emplois" en Martinique et "1800" à La Réunion. Pour justifier cette coupe, Muriel Pénicaud évoque alors "une sous-budgétisation et une surconsommation" par "la majorité précédente" des contrats aidés.
Une fois la décision prise de mettre la pédale douce sur ces contrats, deux associations représentatives de DRH hospitaliers et territoriaux ont rapidement dénoncé "une mauvaise nouvelle pour l'emploi (...) Les employeurs hospitaliers et territoriaux ne sont en effet pas en mesure de transformer budgétairement, dans des délais aussi courts, ces contrats aidés en CDD". Pourtant bon nombre d'entre eux ont déjà
EN SAVOIR PLUS : http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/pourquoi-le-gouvernement-veut-mettre-la-pedale-douce-sur-les-contrats-aides_1938300.html?PMSRC_CAMPAIGN=20170828180007_35_nl_nl_lexpansion_18_heures_59a43e044c964dcd778b4567&xtor=EPR-3124-[20170828180007_35_nl_nl_lexpansion_18_heures_59a43e044c964dcd778b4567_0022E2]-20170828-[_004NVR8]-[RB2D106H001YDDA5]-20170828040100#PMID=ZHMudGFuZ3VheS0yQGJlbGwubmV0
JEAN-MICHEL BLANQUER ET LA MÉTHODE SYLLABIQUE : UNE POLÉMIQUE UBUESQUE !
Le ministre de l'Éducation a préconisé le retour à la méthode "syllabique", déclenchant une polémique aux airs de déjà-vu. Décryptage.
Par Marie-Sandrine Sgherri
Jean-Michel Blanquer, ministre urticant ? En tout cas, les syndicats et les enseignants prennent très mal sa petite phrase parue dans Le Nouvel Observateur de cette semaine. Interrogé sur les méthodes d'apprentissages qu'il souhaite mettre en avant, le ministre de l'Éducation nationale répond : « Pour la lecture, on s'appuiera sur les découvertes des neurosciences, donc sur une pédagogie explicite, de type syllabique et non pas sur la méthode globale, dont tout le monde admet aujourd'hui qu'elle a eu des résultats tout sauf probants. »
La réaction ne s'est pas fait attendre. Le syndicat majoritaire du premier degré est immédiatement monté au créneau : « Est-ce de la méconnaissance ou la volonté de manipuler l'opinion en faisant croire que les enseignants appliquent la méthode globale, que l'école fait n'importe quoi et qu'on va remettre de l'ordre dans tout ça ? » a lancé très remontée Francette Popineau, la secrétaire générale du SNUipp. Même tonalité au SE-Unsa où Stéphane Crochet s'étonne que le ministre « se présente comme celui qui va mettre un terme à une école… qui n'existe plus ».
Une polémique qui ressurgit régulièrement
Les vieilles polémiques décidément ne meurent jamais. La querelle des méthodes est de celles-ci. Depuis le début des années 2000 au moins, des thuriféraires de l'école à l'ancienne dénoncent « la méthode globale » et ses ravages et s'entendent rétorquer que celle-ci n'existe plus. Qu'en est-il sur le terrain ? Difficile de savoir ce qui se passe dans tous les CP de l'Hexagone. Mais au niveau des textes, la messe est dite depuis 15 ans. En 2002, les programmes de primaire ont reconnu noir sur blanc qu'« on sait aujourd'hui que le lecteur ne s'appuie pas sur la silhouette du mot pour l'identifier, mais sur la perception très rapide des lettres qui le composent ». Le décès officiel de la méthode globale est acté.
En 2003, une conférence de consensus met les points sur les « i » : pour lire, il faut déchiffrer. C'est indispensable. Mais ça ne suffit pas ; il faut aussi comprendre. Et pour cela, il faut un vocabulaire suffisamment étendu. Bref, la conférence ne préconise en rien le recours à la « méthode globale », celle qui consiste à « photographier les mots » plutôt que les décomposer en éléments (les graphèmes) que l'on relie aux sons (les phonèmes). Et c'est bien normal : on sait enfin que ce n'est pas « globalement » que le cerveau lit. Il déchiffre et combine.
Malgré cela, en 2006, le ministre de l'Éducation Gilles de Robien, dont le directeur adjoint de son cabinet n'est autre que Jean-Michel Blanquer, veut publier un nouveau texte interdisant « la méthode globale ou semi-globale ou assimilée ». Il provoque une levée de boucliers.
EN SAVOIR PLUS : http://www.lepoint.fr/societe/jean-michel-blanquer-et-la-methode-syllabique-une-polemique-ubuesque-28-08-2017-2152849_23.php#section-commentaires
JUPITER EN MARCHE ARRIÈRE
par Valérie Toranian
Emmanuel Macron avait entamé son quinquennat dans une démonstration de verticalité peu hollandaise dont se réjouissaient même ses adversaires. La pyramide du Louvre, Versailles, Poutine, Trump, la remontée des Champs-Élysées dans un véhicule blindé de l’armée… Chacun se félicitait de ce retour du corps sacré du monarque, en tout point conforme à l’esprit de la Ve République, et saluait la nette amélioration de l’image de la France à l’étranger.
Se voulant l’exact contrepoint de la présidence normale et bavarde de François Hollande, le nouveau président avait théorisé la rareté de sa parole, la vertu du silence, l’autorité « qui est reconnue parce qu’elle n’a pas besoin d’être démontrée, et qui s’exerce autant en creux qu’en plein ». Une présidence jupitérienne, de temps long, « gaullo-mitterrandienne », « fondée sur un discours du sens, sur un univers de symboles ».
« Emmanuel Macron voulait en imposer par sa distance, il souhaite désormais s’entretenir régulièrement avec les Français, de préférence à la radio, pour combler le déficit de son après l’overdose d’images. »
Après trois mois de silence olympien, pendant lesquels les Français ont pu s’abreuver d’images officielles mettant en valeur notre beau président, Jupiter change de style.
Il s’était interdit de polémiquer avec ses adversaires, voilà que la mise en garde de François Hollande sur « les efforts inutiles » demandés aux Français, l’escagasse et le fait réagir. Il devait ne jamais commenter l’actualité française de l’étranger, il l’a fait à deux reprises en Autriche et en Roumanie, sur le chômage et les réformes. Il avait juré ne pas pratiquer le « off » avec les journalistes, il s’y adonne à son tour. Il voulait en imposer par sa distance, il souhaite désormais s’entretenir régulièrement avec les Français, de préférence à la radio, pour combler le déficit de son après l’overdose d’images.
Celui qui voulait être le maître des horloges, rentre dans le rang du temps médiatique. A-t-il le choix ? Peut-on vraiment gouverner autrement ? La démocratie horizontale, interactive et connectée n’a-t-elle pas définitivement gagné ?
« Sacrés Français ! La flambée d’amour pour Macron semble n’avoir été qu’un feu de paille dans leur été. »
La présidence jupitérienne aura duré 100 jours. Le temps, non pas de réformer, mais de dégringoler dans les sondages. Moins 14 points en un mois, 40 % de Français satisfaits de l’action du président, un effondrement sans précédent. « Une addition des mécontents et des frustrations, qui se mesure dans toutes les catégories de la population », comment
EN SAVOIR PLUS : http://www.revuedesdeuxmondes.fr/jupiter-marche-arriere/
RENTRÉE : LES DIX TRAVAUX D'EMMANUEL MACRON
La loi travail n'est pas le seul sujet explosif de cette rentrée. Tour d'horizon des projets que la majorité veut lancer dans les prochains mois.
Avant le Conseil des ministres de mercredi, tous vont se retrouver, ce lundi matin, autour du chef de l'Etat, en séminaire de travail, afin de balayer l'ensemble des dossiers. Et ils sont nombreux. Focus sur les dix dossiers de la rentrée.
Budget 2018 : ça risque d'être « saignant »
Au ministère de l'Economie, on s'arrache les cheveux pour boucler le budget 2018. Dans les étages, les notes de services pour grappiller quelques millions d'euros par-ci par-là croisent les dossiers sur la réforme de la taxe d'habitation, la baisse des cotisations salariales ou la hausse de la CSG. Un casse-tête loin d'être réglé, car il faut en plus ramener, l'an prochain, le déficit public à 2,7 % du PIB.
Le temps presse : le projet de loi de finances sera présenté en Conseil des ministres le 27 septembre. « En 2018, le gouvernement a annoncé 20 Mds€ d'économies, rappelle Mathieu Plane, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Pour le moment, nous n'avons pas du tout le détail de ces mesures. Mais le budget 2018 va être saignant ! On ne peut pas faire 20 Mds€ d'économies sans faire mal... » Où Bercy va-t-il couper ? Les annonces devraient se faire au compte-gouttes dans les semaines qui viennent. Mais la facture risque bien de susciter des levées de boucliers.
D'autant plus que le gouvernement a généré de la déception au coeur de l'été en reculant sur l'une de ses mesures phares en faveur du pouvoir d'achat. La suppression des cotisations salariales ? Elle se fera finalement en deux temps l'an prochain. Mais la hausse de la CSG, elle, va bien être appliquée dès le 1er janvier. « Socialement, tout cela risque d'être difficile à gérer, car certaines parties de la population, les retraités en tête, risquent de ne pas apprécier », prévient Matthieu Plane. Pas certain dans ce contexte que les mesures qui bénéficieront aux Français les plus riches passent bien. La réforme de l'ISF et le plafonnement forfaitaire unique à 30 % des revenus du capital devraient en effet vite entrer en vigueur...
EN SAVOIR PLUS : http://www.leparisien.fr/economie/rentree-les-dix-travaux-d-emmanuel-macron-28-08-2017-7217865.php#xtor=EREC-109-[NLalaune]---${_id_connect_hash}@1
« SIX HEURES À PERDRE » DE ROBERT BRASILLACH
Exclusivité Polémia
Par Camille Galic, journaliste, auteur, essayiste ♦ Rééditée pour le 71e anniversaire de son exécution le 6 février 1945 au fort de Montrouge, Six heures à perdre est la dernière œuvre de Robert Brasillach, publiée à titre posthume chez Plon en 1953 et largement méconnue. Mais s’agit-il vraiment d’un roman comme la présente l’éditeur, « d’un grand roman de l’Occupation, un des plus grands qui soient, malgré l’abondance d’œuvres sur le sujet », insiste son préfacier ? On peut considérer aussi que l’écrivain s’efface ici devant le journaliste pour nous donner un formidable reportage, criant de vérité. Si son pays lui « fait mal » (voir le poème de Robert Brasillach, « Mon pays m’a fait mal » dans Poèmes de Fresnes, dit par Pierre Fresnay), Brasillach observe une totale neutralité sur le quotidien des prisonniers en Allemagne et celui des Français pendant les « heures les plus sombres ». C.G.
« Six heures à perdre » de Robert Brasillach
Dans son érudite préface à ce livre, Philippe d’Hugues (Auteur de Brasillach, éditions Pardès, 2005, collection Qui suis-je ? 128 pages) rappelle que, préfaçant ce livre dans le tome III des Œuvres complètes de Brasillach parues au Club de l’honnête homme, son ami de la rue d’Ulm et beau-frère Maurice Bardèche affirmait que, « des trois parties que comporte l’ouvrage, c’est la première qui est la meilleure, alors que la troisième lui semble la moins réussie ». Philippe d’Hugues pense « exactement le contraire », trouvant « monotone » l’évocation « insistante » de la captivité de l’écrivain, alors que la deuxième partie intitulée « La Permission » lui semble « scintillante », une « petite merveille, du pur Brasillach d’avant-guerre », tout comme la troisième partie, « Le Drapeau noir », est « la grande réussite du roman ».
EN SAVOIR PLUS : https://www.polemia.com/six-heures-a-perdre-de-robert-brasillach/
MACRON CRAINT QUE L'EUROPE SE DÉMANTÈLE
Emmanuel Macron a estimé hier que le «dumping fiscal» pratiqué dans certains pays de l'Est risquait de mener à un «démantèlement de l'UE». La seule solution selon lui est d'amender la directive européenne sur le travail détaché.
Si rien n'est fait, «ça éclatera», car «aucune opinion publique des pays fortement développés n'acceptera le système tel qu'il fonctionne», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Bucarest, au deuxième jour d'une tournée en Europe de l'Est.
Le président français a rencontré hier à Bucarest son homologue roumain. La veille, il avait rencontré les dirigeants autrichien, tchèque et slovaque. L'Autriche a appuyé la position française, mais la République tchèque et la Slovaquie, prudentes, ont simplement accepté de chercher rapidement un compromis. Également prudent, le président roumain a reconnu le «fort mécontentement» en Europe de l'Ouest et estimé qu'il fallait «améliorer cette directive», mais sans «éliminer la concurrence ou le marché libre».
Il a aussi souhaité séparer la question des transporteurs routiers en Europe, sujet très sensible en Roumanie. Paris a accepté. «Nous aurons ensuite une autre négociation sur le transport routier», a confirmé Emmanuel Macron, un geste envers la Roumanie. Autre geste : le président français s'est dit prêt à soutenir la demande de la Roumanie d'entrer dans l'espace Schengen, mais seulement quand ce dernier aura été réformé : «Vous êtes en droit de demander votre intégration dans Schengen. J'y suis totalement ouvert».
Emmanuel Macron espère un accord majoritaire fin octobre à Bruxelles pour raccourcir la durée du travail détaché et renforcer les contrôles contre les fraudes.
http://www.ladepeche.fr/article/2017/08/25/2633491-macron-craint-que-l-europe-se-demantele.html
AU TOUR DE SARKOZY DE FAIRE LA LEÇON À MACRON (ET C'EST PLUTÔT GENTIL)
L'ex-président salue le talent d'Emmanuel Macron pour la transgression... et lui conseille de ne pas perdre de temps.
Baptiste Legrand
Après François Hollande – qui a prévenu Emmanuel Macron qu'il ne fallait pas demander aux Français des "sacrifices inutiles" – c'est donc au tour d'un autre "ex" de livrer son analyse.
Mais ne retrouve-t-on un peu de Nicolas Sarkozy en Emmanuel Macron ?
"Sans transgression, sans rupture des habitudes, sans pensées libres, il n'y a pas de progrès. C'est pour ça que c'est très important", répond Nicolas Sarkozy. "Macron y est arrivé, c'est vrai, et ce n'est pas si facile", ajoute-t-il, comme admiratif.
Est-ce en raison de son âge qu'Emmanuel Macron a pu faire bouger les lignes ? Non, répond Nicolas Sarkozy :
"Ce n'est pas une question d'âge. L'âge importe peu. C'est une question d'opportunité. Ce qui compte, c'est d'y arriver, c'est de faire les choses, que ce soit à 39 ou à 49 ans."
L'ancien patron de l'UMP et des Républicains a lui-même été élu chef de l'Etat à l'âge de 52 ans, en 2007. Soit 13 années de plus qu'Emmanuel Macron, le plus jeune président élu en France.
http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170827.OBS3853/au-tour-de-sarkozy-de-faire-la-lecon-a-macron-et-c-est-plutot-gentil.html#xtor=EPR-1-[ObsPolitique]-20170828
8-1 BREXIT (et Royaume Uni)
MORT DE LADY DI : LA NUIT DU DRAME, JACQUES CHIRAC NE DORMAIT PAS AVEC BERNADETTE
Le 31 août 1997, Lady Diana décédait brutalement des suites d'un accident de la route sous le pont de l'Alma à Paris. Si tout, ou presque, a été dit sur cet accident, certaines zones d'ombre subsistent notamment sur l'endroit où se trouvait Jacques Chirac. Le président de la République ne passait en effet pas la nuit auprès de sa femme Bernadette rapporte Le Dauphiné Libéré, qui précise également que le chef de l'Etat n'était pas joignable.
« Le président dort »
Pour ne pas éveiller les soupçons, le permanencier de l'Elysée se contente de préciser que « le président dort ». Mais si cette hypothèse est probable, il se trouve que Jacques Chirac ne dormait pas dans le palais présidentiel. Dans son livre « Vingt-cinq ans avec lui » paru en 2001, le chauffeur du chef de l'Etat avait révélé que ce dernier se trouvait au domicile de Claudia Cardinale la nuit du fameux 31 août 1997. Cette révélation est aujourd'hui étayée par Aquilino Morelle, alors plume du premier ministre Lionel Jospin à l'époque, dans son livre « L'abdication » paru début 2017 : « Pendant plusieurs heures, nous avons cherché à joindre le président de la République. En vain. Très embarrassés, nos correspondants de l'Elysée n'ont jamais été en mesure de répondre à nos demandes réitérées. Jamais nous n'avons réussi à contacter le chef de l'Etat. »
http://www.ladepeche.fr/article/2017/08/28/2634933-mort-lady-di-nuit-drame-jacques-chirac-dormait-bernadette.html
BREXIT : LES CITOYENS EUROPÉENS SONT TOUJOURS PLUS NOMBREUX À QUITTER LE ROYAUME-UNI
Les Echos 24/08/2017
Les Européens installés au Royaume-Uni ont été 122.000 à quitter le royaume entre avril 2016 et mars 2017, un bond de 37 % sur un an. Le vote du Brexit est passé par là.
Avant même sa mise en oeuvre, le Brexit multiplie décidément ses effets. On le savait déjà pour ce qui concerne le ralentissement de la croissance , les risques pesant sur l'investissement, ou la baisse de la livre. Cela apparaît maintenant clairement en matière de démographie : au Royaume-Uni, les immigrants venus des pays européens ont désormais tendance à ... émigrer. La question de l'immigration avait précisément enflammé la campagne du référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne.
L' « émigration » des Européens s'accélère
Les citoyens européens installés en Grande-Bretagne ont ainsi été 122.000 à quitter le Royaume, où ils étaient installés, entre mars 2016 et avril 2017, soit un bond de +37 % et le plus haut niveau de « sorties » atteint depuis 9 ans, selon les chiffres publiés jeudi par l'Office national des statistiques britanniques (ONS). Cette petite hémorragie est sans surprise particulièrement marquée chez les citoyens bulgares et roumains (une multiplication par deux en un an) et chez les ressortissants du groupe des 8 pays d'Europe centrale et de l'Est entrés dans l'Union européenne en 2004 (Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République Tchèque, Slovaquie, Slovénie), très présents outre-Manche, et dont les départs ont gonflé de 58 %.
EN SAVOIR PLUS SUR https://www.lesechos.fr/monde/europe/030507152498-brexit-les-citoyens-europeens-sont-toujours-plus-nombreux-a-quitter-le-royaune-uni-2109388.php#Pw9uW4SsI0GwFMMz.99
BREXIT : LES EUROPÉENS S’AGACENT DE LA STRATÉGIE BRITANNIQUE
Gabriel Gresillon
Michel Barnier, responsable des négociations pour le compte des Européens, a fait savoir à son homologue britannique qu’il n’y aurait pas de Brexit sans nouvel accord commercial. - Geert Vanden Wijngaert/AP/SIPA
Un nouveau round de négociations entre Bruxelles et Londres s’ouvre la semaine du 28 août. Mais les discussions ne semblent pas près d’aboutir.
Comme un parfum de frustration. Alors qu'un troisième cycle de négociations sur le Brexit doit s'ouvrir, la semaine prochaine, à Bruxelles, les Européens sont de plus en plus dubitatifs, voire agacés, devant l'attitude de Londres sur le sujet.
Le Royaume-Uni a pourtant présenté, ces derniers jours, de nombreux documents visant à clarifier sa position sur toute une série de sujets liés à son futur divorce avec l'Union européenne. Mais comme l'explique un officiel de haut rang à Bruxelles, plusieurs problèmes se posent.
D'une part, Londres semble prendre ses aises vis-à-vis du séquençage des négociations voulu par les Vingt-Sept. Ces derniers se sont entendus pour discuter, d'abord, du divorce, avant d'aborder ensuite les questions relatives à l'avenir de la relation entre les deux rives de la Manche. Londres, au contraire, mélange délibérément les deux sujets, dans une volonté évidente de perturber la mécanique un peu trop huilée que veulent imposer les Européens.
Pas de Brexit sans conséquence commerciale
Ce problème se pose tout particulièrement au sujet de l'Irlande . Alors que le Brexit menace de faire resurgir une frontière « dure » entre le nord et le sud de l'île, il existe un consensus pour reconnaître qu'un tel scénario serait dangereux et y menacerait les accords de paix. Mais Londres, dans son récent document, propose de faire en sorte qu' aucune frontière physique ne soit réinstaurée ... dans le cadre d'une relation future qui serait aussi étroite que possible, commercialement, entre le Royaume-Uni et l'UE.
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EN SAVOIR PLUS SUR https://www.lesechos.fr/monde/europe/010194821148-brexit-les-europeens-sagacent-de-la-strategie-britannique-2109638.php#U5IifFoV4zpKbUyH.99
BREXIT : LE BRAS DE FER SE POURSUIT
Les négociations entre Londres et Bruxelles reprennent ce lundi. Mais les divergences, aussi bien de méthode que de fond, ralentissent les discussions.
Par Emmanuel Berretta
Ce lundi 28 août est un jour férié au Royaume-Uni et, cependant, David Davis, le ministre britannique du Brexit, a tenu à ce que le troisième round des négociations débute dès cet après-midi, à Bruxelles. Il se conclura le jeudi 31 août. Une centaine de personnes de la délégation britannique vont s'installer au Berlaymont (le siège de la Commission européenne à Bruxelles) pour discuter plus en détail des trois points-clés de la négociation : les droits des personnes, les frontières et le règlement financier.
Du côté des 27 États membres, le négociateur en chef de l'Union européenne, Michel Barnier, et ses équipes attendent des clarifications de la part des Britanniques, car les « position papers » publiés par Londres ne répondent que partiellement aux questions soulevées par le Brexit et ses conséquences.
Divisions chez les tories
Des divergences importantes subsistent concernant la méthode de négociation. David Davis a redit qu'il tenait à établir dès à présent un cadre pour les futures relations entre le Royaume-Uni et l'Union européenne. Michel Barnier, appuyé par les Vingt-Sept, ne souhaitant aborder la question des relations futures que lorsque des progrès suffisants auront été accomplis sur les trois sujets d'un retrait ordonné (droits des citoyens installés au Royaume-Uni, frontières et règlement financier). « Aucun progrès suffisant ne sera possible sans un engagement précis du Royaume-Uni sur une méthodologie complète en matière de règlement financier notamment », précise-t-on du côté de Bruxelles.
Divergences de méthode, divergences de fond (le Royaume-Uni refuse de reconnaître la suprématie de la Cour de justice de l'UE pour l'interprétation du droit européen), les négociations n'avancent que très lentement, et il est peu probable, de l'avis des négociateurs, que les progrès soient suffisants avant le Conseil européen d'octobre.
Enfin, les Vingt-Sept sont attentifs à la situation politique personnelle de Theresa May. Le congrès du Parti conservateur aura lieu début octobre. L'actuelle Première ministre en sortira-t-elle affaiblie ? Les divisions au sein des tories entre les tenants d'un « Brexit dur » et les partisans d'un « Brexit allégé » sont guettées par les négociateurs européens...
http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/brexit-le-bras-de-fer-se-poursuit-28-08-2017-2152692_1897.php#section-commentaires
8-2 CETA
8-3 Écologie; CD01 Accord sur le contrôle du climat
8-4 IMMIGRATOPM
8-5 UNION EUROPÉENNE
VU DE TURQUIE. POURQUOI BERLIN ET ANKARA FINIRONT PAR SE RÉCONCILIER
La brouille entre Berlin et Ankara continue à s’amplifier, notamment sur la question des droits de l’homme. Pour le quotidien turc d’extrême gauche Birgün, Erdoğan et Merkel finiront tôt ou tard par se rabibocher, mais ces crises diplomatiques en série laisseront des séquelles durables.
Expliquer l’enchaînement ininterrompu de crises diplomatiques survenues entre Berlin et Ankara par les seules dynamiques intérieures ou par la proximité des élections fédérales prévues pour le 24 septembre prochain en Allemagne revient à n’y rien comprendre. Les dirigeants allemands ont certes l’intention de retirer quelques fruits électoraux des tensions actuelles, mais la question électorale n’est aucunement un facteur déterminant de la crise actuelle. D’ailleurs, bien malin celui qui sait qui profitera en fin de compte de ce contexte de tension. Les chrétiens-démocrates de la CDU ? Les sociaux-démocrates du SPD ? Ou bien le parti d’opposition Die Linke, qui tient ces derniers pour
EN SAVOIR PLUS : http://www.courrierinternational.com/article/vu-de-turquie-pourquoi-berlin-et-ankara-finiront-par-se-reconcilier
CROISSANCE : L’ESPAGNE CARACOLE EN TÊTE DES PAYS DE LA ZONE EURO, TANDIS QUE LE ROYAUME-UNI RALENTIT
Richard Hiault
La hausse du PIB espagnol, en glissement annuel, a atteint 3,1 % au deuxième trimestre. Le Royaume-Uni affiche un maigre 1,7 %.
L'Espagne va mieux. Jeudi, l'institut national de la statistique (INE) a confirmé son estimation du mois dernier en indiquant que la croissance du PIB avait atteint 0,9 % au deuxième trimestre. C'est un dixième de point de plus qu'au premier trimestre. En variation annuelle, le PIB aura donc progressé de 3,1 %, après 3 % au premier trimestre. Avec un tel score, l'Espagne est le pays de la zone euro qui a enregistré la plus forte croissance au cours de ce deuxième trimestre.
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Dans le détail, la demande intérieure (2,4 points de croissance contre 2,3 au premier trimestre) a permis d'atteindre cette performance, a souligné l'INE. La consommation, en particulier celle financée par les administrations publiques, en est la principale cause. Le secteur de la construction, qui s'était effondré pendant la crise après l'éclatement d'une bulle immobilière, a vu son taux de croissance s'accélérer encore, de 4,4 % à 4,8 % en variation annuelle.
VIDÉO
Déception pour le commerce extérieur
Côté déception, la contribution du commerce extérieur s'est quelque peu tassée au cours de la période. Les exportations n'ont ainsi progressé que de 0,7 % sur un trimestre, après une envolée de 4 %. Les importations, quant à elles, se sont repliées de 0,2 % parallèlement. Ce tassement des importations traduit la faible progression de l'investissement sur la période, souligne Jésus Castillo, économiste chargé de l'Espagne chez Natixis. L'investissement n'a en effet grimpé que de 0,5 %, après +3,5 % sur les trois premiers mois de 2017. Pour l'année entière, l'économiste s'attend à une croissance annuelle de 3,1 %.
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/monde/europe/030507398770-croissance-lespagne-caracole-en-tete-des-pays-de-la-zone-euro-tandis-que-le-royaume-uni-ralentit-2109409.php#dwMe2H8pTqPiAtgW.99
TRAVAILLEURS DÉTACHÉS : MACRON N’EST PAS À L’UNISSON DU PRÉSIDENT ROUMAIN
Yves Bourdillon Le 24/08 à 18:57
VIDEO. Divergences entre Paris et Bucarest sur la directive travailleurs détachés. Le président roumain, Klaus Iohannis, n'a pas donné à Emmanuel Macron de blanc seing sur la réforme de la circulaire européenne.
L'étape roumaine s'est avérée pour Emmanuel Macron plus retorse que l'autrichienne, la veille . Au deuxième jour de la tournée internationale de rentrée du président français, son homologue roumain, Klaus Iohannis, ne lui a pas donné de blanc seing sur la réforme de la circulaire européenne sur les travailleurs détachés.
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Macron estime que la directive sur les travailleurs détachés « trahit » l'Europe
Alors qu'Emmanuel Macron se targuait d'avoir obtenu à Vienne mercredi l'approbation (en fait un accord sur la nécessité de trouver un accord en octobre) des chefs de gouvernement slovaque et tchèque, le chef de l'Etat roumain n'a pas exprimé d'accord clair sur la nécessité de réformer cette circulaire d'ici janvier, et encore moins dans le sens voulu par Paris.
Bruxelles a proposé une refonte de la circulaire
Cette circulaire permet à un une entreprise européenne de faire travailler temporairement dans un pays de l'Unon un salarié provenant d'un autre pays avec un salaire net conforme aux lois locales, mais en payant les cotisations sociales dans le pays d'origine.
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POINT DE VUE Le travail détaché, au-delà des clichés
Un avantage concurrentiel pour les entreprises basées dans des pays à faible coût de main d'oeuvre à ou Etat providence réduit. Bruxelles a proposé une refonte de la circulaire sur le principe « à travail égal sur un même lieu » doit correspondre une même rémunération, primes, congés payés et treizième mois, sans imposer le paiement de cotisations sociales dans le pays hébergeant le chantier, mais l'Elysée souhaite aller plus loin.
Un risque de démantèlement de l'Union
Après avoir estimé mercredi que la directive, dont il avait soutenu le principe durant la campagne électorale, constituait « en l'état une trahison des fondamentaux de l'Union européenne », il a déclaré jeudi que faute d'amendement de cette directive « le dumping fiscal et social » risquerait d'aboutir au « démantèlement de l'Union européenne ». Le président roumain s'est pour sa part borné à estimer que la directive devait être « améliorée » car « il est inacceptable de
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/monde/europe/030507754677-travailleurs-detaches-macron-nest-pas-a-lunisson-du-president-roumain-2109413.php#vBVPKFg2q2jybdj3.99
VU DE HONGRIE. POUTINE À BUDAPEST, NOUVELLE VISITE CONTROVERSÉE
Accueilli ce lundi à Budapest pour la deuxième fois en six mois, le maître du Kremlin assiste à l’ouverture des Mondiaux de judo en compagnie de Viktor Orbán, avec qui il discutera questions énergétiques et diplomatiques. Les médias hongrois commentent largement cette visite éclair.
Documentaire anti-Poutine projeté hier au cœur de Budapest, les noms de rues soviétiques collés sur les plaques de plusieurs grandes artères de la ville, manifestation mobile suivant le trajet de la délégation russe, Marche pour l’Europe prévue ce soir à l’initiative du parti centriste-libéral Momentum… L’opposition hongroise réserve un comité d’accueil particulièrement glacial à la ceinture noire Vladimir Poutine, invité d’honneur des championnats du Monde de judo débutant ce lundi 28 août sur les bords du Danube. Apprécié de Viktor Orbán, le dirigeant russe continue d’avancer ses pions dans l’ex-satellite soviétique, dont le Premier ministre est accusé de suivre son exemple en stigmatisant les ONG et les médias critiques.
“Rien d’important à offrir”
http://www.courrierinternational.com/article/vu-de-hongrie-poutine-budapest-nouvelle-visite-controversee
ESPAGNE. UNE MANIFESTATION HONTEUSEMENT POLITISÉE
En sabotant, samedi, l’hommage aux victimes des attentats de Catalogne, au cours duquel le roi et le chef du gouvernement ont été hués, quelques indépendantistes ont choisi le mauvais endroit et le mauvais moment, estime ce journaliste espagnol.
Je ne peux m’empêcher de sourire quand j’entends quelqu’un dire qu’il faut éviter de politiser telle ou telle chose. Car en général, à partir du moment où on prononce cette phrase, c’est déjà trop tard. Tout est instrumentalisé à des fins politiques aujourd’hui : le football, les noms de rues, les médias, la mémoire historique, les aéroports etc.
L’attentat de La Rambla n’a pas échappé à la règle et ce, dès le jour du drame, même si les grands dirigeants – le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy, son “homologue” catalan Carles Puigdemont et la maire de Barcelone Ada Colau – ont respecté les formes. Le lendemain – quelle surprise ! – la presse et les éditorialistes avaient décidé de tout mélanger, attentats et référendum.
EN SAVOIR PLUS : http://www.courrierinternational.com/article/espagne-une-manifestation-honteusement-politisee
EUROPE : LES FRANÇAIS Y CROIENT PLUS QUE JAMAIS
Un an après le référendum sur le Brexit au Royaume-Uni, une majorité croissante d'Européens est optimiste quant à l'avenir de l'Union européenne, selon l'enquête Eurobaromètre.
Seraient-ce les complexes conséquences du Brexit qui auraient ouvert les yeux des Européens ? Ou l'instabilité d'un monde bousculé entre Donald Trump et Vladimir Poutine qui auraient déclenché une prise de conscience sur l'importance de l'Europe, ce lieu de paix et de stabilité depuis la f in de la seconde guerre mondiale ? Toujours est-il que la confiance est bel et bien de retour chez les Européens selon la dernière enquête Eurobaromètre de la Commission européenne parue au début du mois. Réalisée dans les 28 États membres fin mai 2017, soit juste avant le premier anniversaire du référendum britannique sur le Brexit, cette vaste étude montre qu'une majorité croissante des Européens sont optimistes quant à l'avenir de l'Union européenne et qu'ils sont désormais presque majoritaires à se déclarer également optimistes quant à l'état de leur économie nationale. «La confiance dans l'Union européenne s'accroît pour atteindre son niveau le plus élevé depuis 2010 et le soutien en faveur de l'euro n'a jamais été aussi ferme depuis 2004», se félicite la Commission.
56 % sont optimistes
Si 56 % des Européens sont optimistes (+6 points en un an), le détail des pourcentages par pays révèle son lot de surprises puisque c'est en France que la progression est la plus spectaculaire : +14 points en un an, à 55 %. Suivent le Danemark (+11 points à 56 %), l'Estonie (+ 11 points à 55 %) et l'Allemagne (+10 points, 47 %).
La confiance dans l'Europe se répercute aussi sur les gouvernements nationaux. «Comme dans les deux enquêtes précédentes réalisées au printemps et à l'automne 2016, la confiance dans les parlements et les gouvernements nationaux a également augmenté pour atteindre
respectivement 36 % et 37 %, mais elle reste à un niveau inférieur à celui de la confiance dans l'Union européenne», observe la Commission.
Autre point saillant de l'Eurobaromètre : l'image positive de l'Europe, en hausse de 5 points en un an, à 40 %. La vision positive de l'Union auprès de ses citoyens a progressé dans 24 États. Et là aussi, en regardant la situation pays par pays, on s'aperçoit que la France est l'État dans lequel l'image positive de l'UE a le plus progressé : +11 points à 40 %. Suivent le Danemark (+10 points à 42 %) et le Luxembourg (+10 points à 57 %).
Cette image positive de l'UE rejaillit également ailleurs dans le monde. L'enquête a ainsi interrogé des personnes non-européennes sur l'image qu'ils avaient de l'UE. Le résultat est sans
EN SAVOIR PLUS : http://www.ladepeche.fr/article/2017/08/28/2634815-europe-les-francais-y-croient-plus-que-jamais.html
8-6 EUROPE (autres que Union Européenne)
9-1 PROCHE ORIENT – SYRIE, ÉGYPTE, IRAK, IRAN, ISRAEL, TURQUIE, RUSSIE, SYRI, ARABIE, QATAR
Afganistan
AFGHANISTAN - UN RUDE ET VIEUX PAYS AU COEUR DU MONDE
Au cours du dernier millénaire, l'Afghanistan est le seul pays au monde qui n'a jamais accepté une tutelle étrangère (*). Il a toujours défait ceux qui ont tenté de l'occuper ou le soumettre. Avis aux amateurs...
Ce pays d'Asie centrale un peu plus vaste que la France (650 000 km2), est enclavé dans des montagnes austères, avec un climat continental (sec, très chaud en été, très froid en hiver).
L'Afghanistan est surtout peuplé d'éleveurs nomades et l'on y recense une quinzaine de langues et de cultures, la langue pachtoune étant dominante (25 millions d'habitants en 2000).
À noter, en marge des principales communautés du pays, les Hazaras aux yeux bridés, qui prétendent descendre des guerriers de Gengis Khan le conquérant mongol.
L'islam s'impose
L'Afghanistan, que les Grecs nommaient Bactriane, du nom de Bactres, ou Bakhr, une cité aujourd'hui en ruines, avait été annexé à la Perse par Darius Ier vers 500 av. J.-C., puis conquis comme le reste de la Perse par Alexandre le Grand (329-327 av. J.-C.). Après les Séleucides et les Parthes, la région fut disputée tout à tour par des tribus hindoues puis perses, arabes et turques.
Convertis à l'islam, les Afghans furent entraînés par Mohammed de Ghor à la conquête de l'Inde du nord. Ils fondèrent le sultanat de Delhi au XIIIe siècle. Au XVIe siècle, Babur chah, lointain descendant de Tamerlan, établit sa capitale à Kaboul et se taille un royaume dans le nord de l'Inde, d'où naîtra la puissante dynastie des sultans moghols.
En Afghanistan même, en 1747, un chef de tribu, Ahmed chah, se proclame roi (ouchah) et fonde la dynastie Durrani. Il va porter des coups violents à l'empire moghol des Indes, facilitant ainsi à son insu la colonisation du sous-continent par les Anglais.
Intrusions européennes
La Compagnie anglaise des Indes orientales tente imprudemment d'établir son protectorat sur l'Afghanistan, en lequel elle voit une menace pour sa colonie des Indes. Cela vaut aux Anglais l'une des plus cruelles défaites de leur histoire avec l'extermination d'une armée entière.
Soucieux de neutraliser le glacis qui sépare les Indes de l'empire russe, le gouvernement anglais signe avec les Afghans le traité de Gandamak du 26 mai 1879, par lequel Kaboul concède à Londres la surveillance de la passe stratégique de Khyber et un droit de regard sur sa politique étrangère. Maîtres chez eux, les Afghans renoncent à s'immixer dans les rivalités entre grandes puissances. C'est une attitude qu'ils conserveront au XXe siècle pendant la « guerre froide » entre URSS et États-Unis.
L'émir Amanullah relève à son profit le titre de roi et tente de moderniser le pays à la manière du Turc Moustafa Kémal. Mal lui en prend et il est déposé en 1929 suite à un soulèvement des religieux musulmans.
Un général, Nadir chah, s'empare du pouvoir et de la couronne mais il est assassiné en 1933 et remplacé sur le trône par son fils Mohammed Zahir chah. Le général Mohammed Daoud chah, cousin et beau-frère du roi, dirige le gouvernement de 1953 à 1963. Éliminé, il prend sa revanche 10 ans plus tard, en renversant la monarchie et en instaurant la République le 17 juillet 1973. Il sera lui-même assassiné par des opposants, avec la complicité des Soviétiques, le 27 avril 1978.
Le coeur du Monde ?
L'historien de l'Asie, René Grousset, voyait dans les soubresauts de l'Asie centrale les battements de coeur de l'Histoire universelle, du temps où les nomades huns, mongols et turcs portaient le fer aux extrémités du Vieux Monde.
À voir ce qui se passe en ce début du XXIe siècle en Afghanistan, il semblerait que cette « loi » de l'Histoire conserve une certaine pertinence !
Il faut dire que les tribus afghanes, jalouses de leur indépendance et protégées par le relief abrupt de leurs vallées, vivent dans un état de guerre quasi-permanent. Elles sont structurées pour la guerre au point de considérer la paix comme un état instable et néfaste à leur équilibre interne.
Autan dire que le projet de l'OTAN de transformer ce pays en une nouvelle Suisse relève du conte de fées.
EN SAVOIR PLUS : https://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=170&ID_dossier=124&resume=1
Turquie
VU DE TURQUIE. POURQUOI BERLIN ET ANKARA FINIRONT PAR SE RÉCONCILIER
La brouille entre Berlin et Ankara continue à s’amplifier, notamment sur la question des droits de l’homme. Pour le quotidien turc d’extrême gauche Birgün, Erdoğan et Merkel finiront tôt ou tard par se rabibocher, mais ces crises diplomatiques en série laisseront des séquelles durables.
Expliquer l’enchaînement ininterrompu de crises diplomatiques survenues entre Berlin et Ankara par les seules dynamiques intérieures ou par la proximité des élections fédérales prévues pour le 24 septembre prochain en Allemagne revient à n’y rien comprendre. Les dirigeants allemands ont certes l’intention de retirer quelques fruits électoraux des tensions actuelles, mais la question électorale n’est aucunement un facteur déterminant de la crise actuelle. D’ailleurs, bien malin celui qui sait qui profitera en fin de compte de ce contexte de tension. Les chrétiens-démocrates de la CDU ? Les sociaux-démocrates du SPD ? Ou bien le parti d’opposition Die Linke, qui tient ces derniers pour
EN SAVOIR PLUS : http://www.courrierinternational.com/article/vu-de-turquie-pourquoi-berlin-et-ankara-finiront-par-se-reconcilier
9-2 ASIE - INDE, CHINE, JAPON, CORÉE, INDONÉSIE, PHILIPINES, AUSTRALIE
9-3 ISLAM, ISLAMISME, IMMIGRATION, TERRORISME
LA RÉPUBLIQUE TCHÈQUE NE VEUT PLUS ACCUEILLIR DE MUSULMANS
Les tensions sont grandes entre les dirigeants (et non pas les peuples) des pays d’Europe de l’Ouest et ceux d’Europe centrale et orientale.
Malgré la propagande médiatique, malgré les tentatives perpetrées par la galaxie Soros de déstabiliser des régimes, notamment Hongrois ou Polonais, ils se maintiennent.
Récemment, le Président du gouvernement (Premier ministre) de la République Tchèque, membre du groupe de Visegrad, a déclaré que son pays ne voulait plus accueillir de musulmans, en raison notamment des tensions liées aux agissements de membres de cette communauté dans toute l’Europe de l’Ouest.
Bohuslav Sobotka était à Salzbourg en Autriche, mercredi dernier, pour rencontrer Emmanuel Macron ainsi que les chefs de gouvernement de Slovaquie et d’Autriche et évoquer la réforme de la directive relative aux travailleurs détachés.
A cette occasion, il a accordé un entretien au quotidien autrichien Die Presse, dans lequel il a affirmé son hostilité à accueillir des musulmans dans son pays, comme le rapporte La Pravda.ch que nous citons ci-dessous :
« Lorsque nous observons les problèmes dans les autres pays européens, nous, en République tchèque, ne voulons pas plus de musulmans« , a dit le Premier ministre évoquant la toute petite minorité musulmane dans son pays, qui n’a pas vocation à grandir.
« Nous aimerions vraiment que l’Europe protège mieux ses frontières extérieures. L’accueil des réfugiés devrait toujours faire partie de la compétence des États-nations. En Europe, nous voyons trop souvent des problèmes avec l’intégration de personnes qui proviennent d’autres milieux culturels ou religieux, » a ajouté Sobotka.
« Il a également souligné le fait que la République tchèque contribuait à résoudre la crise migratoire en finançant les garde-côtes libyens et des camps de réfugiés ou bien en envoyant des policiers dans les Balkans.» rapport la Pravda.
Les propos du Premier ministre sont partagés par d’autres dirigeants d’Europe centrale et par une large partie des populations locales (mais aussi par une partie non négligeable des populations d’Europe de l’Ouest, malgré ce que veulent faire croire les médias mainstream et comme le démontrent les résultats électoraux) .
Contrairement à la France, à la Belgique, au Royaume-Uni, à l’Allemagne, aux Pays-Bas…les pays d’Europe centrale ne sont frappés ni par le terrorisme islamiste, ni par la vague migratoire et ses conséquences pour les populations locales.
Ces dissensions sont le symbole de ce qui constitue plus qu’une crise entre deux visions de l’Europe : l’enracinement, contre le mondialisme. Entre les deux, il ne semble y avoir aucune réconciliation possible, puisque c’est de l’avenir d’une civilisation qu’il s’agit.
https://www.breizh-info.com/2017/08/28/76524/republique-tcheque-ne-veut-plus-accueillir-de-musulmans
BARCELONE : L'ANGÉLISME, ALLIÉ DES DJIHADISTES
Pour qui en doutait, Emmanuel Macron est l’incarnation du politiquement correct et de sa couardise pacifiste. Là est sa faiblesse. Le macronisme en marche est un grand bond en arrière. Car l’islam conquérant et obscurantiste bénéficie de cette posture hypocritement "humaniste". Elle rend l’islam, qui se veut un tout (religion, société, état), étranger au terrorisme qui applique une lecture guerrière du Coran. Relire les récents tweets présidentiels révèle un aveuglement qui est aussi celui des nombreux dirigeants soucieux d’apaisement. Après la mort, aux Etats-Unis, d’une contre-manifestante écrasée à Charlottesville (Virginie) par la voiture qu’un militant d’extrême-droite avait lancée dans la foule des opposants au suprémaciste blanc, Macron a tweeté, le 17 août : "Au côté de ceux qui combattent le racisme et la xénophobie. Notre combat commun, hier comme aujourd’hui." Le même jour, il a tweeté également, après l’attentat islamiste sur les Ramblas à Barcelone (13 morts, 80 blessés) : "Toutes mes pensées et la solidarité de la France pour les victimes de la tragique attaque de Barcelone. Nous restons unis et déterminés". Suivront d’autres messages semblables disant sa "solidarité" avec la Finlande (2 morts, assassinés par un demandeur d’asile marocain, à Turku) puis avec "les victimes de Sourgout" (sept blessés, lors d’une attaque au couteau dans cette ville de Russie). Le 14 août, le président avait aussi assuré le Burkina Faso de sa "solidarité" après une attaque terroriste ayant fait 18 morts. Mais si Macron n’éprouve aucune gêne pour revendiquer son combat contre le racisme et la xénophobie, il reste paralysé à l’idée de désigner de la même manière le suprémacisme islamique. Ce refus persistant d’engager l’épreuve de force, au nom d’une "bienveillance" historiquement munichoise, conforte la stratégie gagnante des djihadistes.
N’en déplaise à Macron et à ses excuses saugrenues, ce n’est pas le réchauffement climatique qui est à l’origine de la tuerie de Barcelone ni, un peu plus tard, du mort de Cambrils. L’enquête fait apparaître que les terroristes avaient pour objectif initial de s’en prendre à la Sagrada Familia, la basilique de Barcelone. Plus de cent bonbonnes de gaz ont été découvertes. Le commando, constitué de jeune tueurs locaux issus de trois familles d’origine marocaine, semble avoir été endoctriné par un imam de Ripoll, commune de 11.00O habitants d’où proviennent la majorité des djihadistes. Cet homme, Abdelbaki Es Satty, était connu pour son salafisme sans avoir été jamais inquiété par les autorités catalanes. Ceux qui persistent, le président français en tête, à nier tout lien entre l’islam et le terrorisme s’interrogeront-ils sur le rôle de cet imam et sur la cible catholique ? Une évidence apparaît clairement : l’angélisme occidental est compris comme une faiblesse par l’islam politique. Il ne respecte que la force. La maire d’extrême gauche de Barcelone, Ada Colau, a été la première à lancer cette année un "plan d’Etat" contre "l’islamophobie". La ville, plaque tournante du…
EN SAVOIR PLUS : http://www.magistro.fr/index.php/template/lorem-ipsum/du-cote-des-elites/item/3237-barcelone-l-angelisme
BARCELONE : L'ANGÉLISME, ALLIÉ DES DJIHADISTES
Pour qui en doutait, Emmanuel Macron est l’incarnation du politiquement correct et de sa couardise pacifiste. Là est sa faiblesse. Le macronisme en marche est un grand bond en arrière. Car l’islam conquérant et obscurantiste bénéficie de cette posture hypocritement "humaniste". Elle rend l’islam, qui se veut un tout (religion, société, état), étranger au terrorisme qui applique une lecture guerrière du Coran. Relire les récents tweets présidentiels révèle un aveuglement qui est aussi celui des nombreux dirigeants soucieux d’apaisement. Après la mort, aux Etats-Unis, d’une contre-manifestante écrasée à Charlottesville (Virginie) par la voiture qu’un militant d’extrême-droite avait lancée dans la foule des opposants au suprémaciste blanc, Macron a tweeté, le 17 août : "Au côté de ceux qui combattent le racisme et la xénophobie. Notre combat commun, hier comme aujourd’hui." Le même jour, il a tweeté également, après l’attentat islamiste sur les Ramblas à Barcelone (13 morts, 80 blessés) : "Toutes mes pensées et la solidarité de la France pour les victimes de la tragique attaque de Barcelone. Nous restons unis et déterminés". Suivront d’autres messages semblables disant sa "solidarité" avec la Finlande (2 morts, assassinés par un demandeur d’asile marocain, à Turku) puis avec "les victimes de Sourgout" (sept blessés, lors d’une attaque au couteau dans cette ville de Russie). Le 14 août, le président avait aussi assuré le Burkina Faso de sa "solidarité" après une attaque terroriste ayant fait 18 morts. Mais si Macron n’éprouve aucune gêne pour revendiquer son combat contre le racisme et la xénophobie, il reste paralysé à l’idée de désigner de la même manière le suprémacisme islamique. Ce refus persistant d’engager l’épreuve de force, au nom d’une "bienveillance" historiquement munichoise, conforte la stratégie gagnante des djihadistes.
N’en déplaise à Macron et à ses excuses saugrenues, ce n’est pas le réchauffement climatique qui est à l’origine de la tuerie de Barcelone ni, un peu plus tard, du mort de
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L’ISLAM DANS LES ROMANS DE MICHEL HOUELLEBECQ
De "Plateforme" à "Soumission", l'auteur Mathias Rambaud analyse l'évolution de la vision houellebecquienne de l’islam au cours de ces quinze dernières années.
par Mathias Rambaud
Dans le roman français contemporain, l’islam apparaît souvent sous un jour conflictuel : « abominations » perpétrées en Europe par le « Grand Djihad » dans Cosmos Incorporated (2005) de Maurice G. Dantec ; guerre du Liban entre chrétiens et musulmans dans La Confession négative (2009) de Richard Millet ; guerre civile entre les Unitaires et les miliciens du parti islamiste dans Les Événements (2015) de Jean Rolin.
Cette représentation polémique doit beaucoup à une perception de l’islam issue à la fois de la réalité sociale de la France, premier pays musulman de l’Union européenne, et du terrorisme islamiste dont le pays a été l’objet depuis le début des années 1990. Nulle part ailleurs que dans les romans houellebecquiens, et notamment Plateforme (2001), La Possibilité d’une île (2004) et Soumission (2015), cette représentation et son évolution au cours des deux dernières décennies ne trouvent de meilleure illustration romanesque.
« Depuis les années 1980, la perception de l’islam en France a beaucoup évolué. »
Si, comme le rappelle Danielle Hervieu-Léger, le catholicisme jouit d’un avantage identitaire en France, l’islam y souffre d’un désavantage extranéitaire, désavantage dû au fait que, comme l’écrit Pierre Manent, « l’islam comme association humaine et comme mode de vie est aussi extérieur à l’histoire de France que le catholicisme lui est intérieur [1] ». Or, depuis les années 1980, la perception de l’islam en France a beaucoup évolué : en 2014, avant même la vague d’attentats islamistes des années 2015 et 2016, 74 % des personnes interrogées estimaient que l’islam est une religion « intolérante », incompatible avec les valeurs de la société française [2].
Cette perception de l’islam, à quoi ce « nouvel obscurantisme [3] » qu’est la vulgate antiraciste et le verrouillage idéologique qu’il a commandé, ont pris une part qu’il conviendrait d’analyser, est due, selon Pierre Manent, à trois facteurs déterminants : « l’immigration musulmane, l’influence financière des pays du Golfe, le terrorisme islamique [4] ».
« L’islam bénéficie d’une dynamique démographique beaucoup plus favorable que les autres religions de France »
Évaluée aujourd’hui à 5 ou 6 millions d’individus, et considérée comme susceptible d’augmenter, la communauté musulmane française est la plus nombreuse d’Europe. Pointant le fait que, d’une part, l’islam est marqué par « un taux de rétention élevé de la religion parentale, une endogamie religieuse forte, une fécondité plus élevée et une immigration qui va sans doute perdurer », et que d’autre part, la religion musulmane « reste à l’écart du grand mouvement de sécularisation qui touche le catholicisme et le protestantisme [5] », la démographe Michèle Tribalat conclut, dans un article au titre polémique, que l’islam bénéficie d’une dynamique démographique beaucoup plus favorable que les autres religions de France.
Les multiples ramifications prêtées à ce constat ont pu alimenter le sentiment obsidional de l’inventeur du syntagme de « Grand remplacement », l’écrivain Renaud Camus, dont les activités politiques ont connu ces dernières années une intensification notable. Depuis la parution de son livre Le Grand Remplacement en 2011, Renaud Camus — au demeurant l’auteur d’une œuvre vaste et remarquable, comprenant un journal publié en ligne au jour le jour — insiste sur ce qu’il considère être « le phénomène le plus considérable de l’histoire de France depuis des siècles, et sans doute depuis toujours [6] » : le bouleversement démographique causé en France et en Europe par l’immigration extra-européenne, et consistant dans le remplacement à court-terme d’une population de Français et
EN SAVOIR PLUS : http://www.revuedesdeuxmondes.fr/lislam-romans-de-michel-houellebecq/
REVENDICATION DE L'ATTAQUE DES MILITAIRES PAR L'EI: EST-CE CRÉDIBLE ?
VIDÉO
EN SAVOIR PLUS : https://www.rtbf.be/auvio/detail_revendication-de-l-attaque-des-militaires-par-l-ei-est-ce-credible?id=2247950
9-4 AMÉRIQUE DU NORD (USA, CANADA)
TRUMP FAIT PLANER LA MENACE D'UNE CRISE POLITIQUE POUR OBTENIR SON MUR
Jean-Philippe Louis
Le président américain se dit prêt à aller jusqu'au « shutdown », l'arrêt du gouvernement, s'il n'obtient pas du Congrès les fonds pour construire le mur à la frontière mexicaine.
Il en parle, il le martèle. Il va falloir désormais l'ériger. Donald Trump a promis à ses électeurs un mur à la frontière mexicaine, alors il aura son mur. Quitte à provoquer - un arrêt des activités du gouvernement américain - et une crise politique, si l'on en croit des propos qu'il aurait tenus auprès de ses conseillers. Le président américain a indiqué qu'il n'accepterait aucun accord sur d'autres questions, sans argent pour son mur. Se...
https://www.lesechos.fr/monde/etats-unis/010192593435-trump-fait-planer-la-menace-dune-crise-politique-pour-obtenir-son-mur-2109352.php#xtor=EPR-130
NUCLÉAIRE : TRUMP VEUT POUSSER L'IRAN À LA FAUTE
Le président américain cherche un moyen pour prouver que Téhéran viole l'accord sur le nucléaire iranien, alors que les rapports de l'ONU affirment le contraire.
Par Armin Arefi
L'Iran « n'est pas un pays à qui on peut faire confiance. » C'est en ces termes que Nikki Haley, l'ambassadrice américaine à l'ONU, a justifié au Washington Post sa visite mercredi au siège de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Lors d'un court passage à Vienne mercredi, la responsable américaine s'est entretenue avec le chef de l'AIEA au sujet de ses inspections en Iran. « Inspectez-vous tout ? Inspectez-vous les endroits où ont eu lieu des activités secrètes par le passé ? Êtes-vous autorisés à accéder à ces zones ? » a-t-elle notamment demandé, selon l'agence de p...
http://www.lepoint.fr/monde/nucleaire-trump-veut-pousser-l-iran-a-la-faute-26-08-2017-2152410_24.php#section-commentaires
TRUMP PERSISTE: MEXICO PAIERA LE MUR FRONTALIER, "NON" DIT LE MEXIQUE
Les États-Unis doivent construire un mur anti-immigrés à la frontière mexicaine et le Mexique paiera la facture d'une manière ou d'une autre, a réaffirmé dimanche Donald Trump avant un débat difficile au Congrès sur cette priorité du président américain.
"Le Mexique étant un des pays au monde où la criminalité est la plus forte, nous devons avoir LE MUR", a tweeté Donald Trump. "Le Mexique devra payer pour cela, en remboursant ou de toute autre manière", a-t-il ajouté, entre plusieurs messages consacrés à l'ouragan Harvey.
Mexico a rétorqué via son ministère des Affaires étrangères que "comme l'a constamment affirmé le gouvernement du Mexique, notre pays ne paiera en aucune manière et dans aucune circonstance un mur."
Le sujet sera au coeur du débat sur le budget 2018 que doit voter le Congrès après sa rentrée de septembre. La Maison Blanche exige que la loi de financement de l’État fédéral inclue des crédits pour la construction du mur, mais les démocrates s'y opposent et détiennent une minorité de blocage au Sénat.
Trump prêt à aller jusqu'au blocage
Sur Twitter, Donald Trump a aussi de nouveau laissé planer dimanche la menace d'une rupture avec le Mexique, mais aussi le Canada, dans le cadre de la renégociation en cours du traité de libre-échange Aléna. Qualifiant cet accord de "pire traité commercial jamais conclu", le président américain a ajouté au sujet des pays voisins: "comme tous deux se montrent difficiles, ne devrions nous pas en finir?".
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_trump-persiste-mexico-paiera-le-mur-frontalier-non-dit-le-mexique?id=9693413
CANADA : PARTICIPATION INÉDITE DU CHEF D’ÉTAT-MAJOR À LA GAY PRIDE
Le général Vance souhaitait envoyer un message de solidarité à la communauté LGBT et montrer que ses membres sont les bienvenus dans les forces armées canadiennes.
Le chef d’état-major canadien a participé dimanche 27 août, pour la première fois, au défilé de la fierté gay à Ottawa. Jonathan Vance a défilé en compagnie d’un groupe de hauts responsables militaires en uniforme, lors de cette parade dans les rues de la capitale fédérale.
Le général Vance avait annoncé qu’il défilerait pour envoyer un message de solidarité à la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels) et montrer que ses membres qui le souhaiteraient sont bienvenus dans les forces armées canadiennes.
« Un pays ouvert à la diversité »
Ce geste s’inscrit dans le contexte de l’interdiction faite par le président des Etats-Unis Donald Trump aux personnes transgenres de servir dans l’armée américaine.
Lire aussi : Une fausse citation de Justin Trudeau sur fond de vrai débat sur l’intégration au Canada
Le chef du gouvernement Justin Trudeau était également présent. Il a déjà participé aux défilés de la fierté dans plusieurs villes canadiennes, mais c’était la première fois qu’il participait à celui de la capitale comme premier ministre.
Il a noté que la présence du général Vance au défilé montrait que le Canada est « un pays ouvert à la diversité ». « Nous savons que c’est une de nos forces, que ce soit dans les forces armées ou partout ailleurs », a-t-il ajouté.
EN SAVOIR PLUS SUR : http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/08/28/canada-participation-inedite-du-chef-d-etat-major-a-la-gay-pride_5177291_3222.html#dfj4jPYfsAxl4XpR.99
ÉTATS-UNIS. HOUSTON SOUS LE DÉLUGE HARVEY
L’ouragan a déversé des torrents d’eau sur la quatrième métropole des États-Unis, provoquant des inondations catastrophiques. Dans la presse américaine, des journalistes installés à Houston racontent la situation de l’intérieur.
Pas moins de 35 milliards de mètres cubes d’eau, soit un immense cube dont chaque arête ferait plus de 3 km : c’est le volume d’eau déversé par l’ouragan Harvey sur la région de Houston et le sud-est du Texas ce week-end, comme le montre une infographie du Washington Post.
Dans la presse nationale, des journalistes résidant à Houston racontent le désastre de l’intérieur. Une journaliste du magazine local Texas Monthly relate dans The New York Times ses préparatifs incrédules : “Comme la plupart des Texans, j’étais à peu près sûre que la situation était exagérée par les médias.” Ce n’est que samedi soir qu’elle a pris la mesure de la catastrophe, quand la pluie a commencé à tomber et, “tout d’un coup, on aurait dit qu’on vivait à côté des chutes du Niagara”.
“J’ai couvert pas moins de cinq guerres sur deux continents, explique un journaliste du quotidien new-yorkais, mais rien ne m’avait préparé à être, moi et ma famille, en plein cœur de l’événement.”
EN SAVOIR PLUS : http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-houston-sous-le-deluge-harvey
9-5 AMÉRIQUE CENTRALE
9-6 AMÉRIQUE DU SUD
9-7 AFRIQUE
AFRIQUE/SOUDAN DU SUD - ARRESTATION DE LA COORDINATRICE DE LA COMMISSION JUSTICE ET PAIX DU DIOCÈSE DE WAU
La Coordinatrice de la Commission Justice et Paix du Diocèse de Wau, au Soudan du Sud, a été arrêtée. Selon ce qu’indique Radio Tamazuj, Natalina Andrea Mabu a été arrêtée voici environ une semaine sous l’accusation d’être impliquée dans l’empoisonnement alimentaire intervenu le 3 août dernier au cours d’un séminaire militaire tenu en la caserne Garinti de Wau. Le séminaire, organisé par la Mission de l’ONU au Soudan du Sud (UNMISS), portait sur le respect des droits fondamentaux de la part des militaires. Dans ce cadre, trois officiers de l’armée de terre ont trouvé la mort, dont le Commandant des opérations dans la zone de Wau, le GB Mathok Akec. Par ailleurs, 57 autres militaires ont été hospitalisés suite à de graves troubles gastro-intestinaux.
Selon l’enquête, la nourriture contaminée a été préparée dans un hôtel local pour être ensuite transportée à la caserne Garinti où se tenait le séminaire.
Pour le moment, les fondements des accusations pesant sur la Coordinatrice de la Commission Justice et Paix du Diocèse de Wau ne sont pas connus. (L.M.) (Agence Fides 28/08/2017)
http://www.fides.org/fr/news/62811-AFRIQUE_SOUDAN_DU_SUD_Arrestation_de_la_Coordinatrice_de_la_Commission_Justice_et_Paix_du_Diocese_de_Wau#.WaQc-oWcGwk
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